L’interview-café d’Alexandra Kolasinski, fondatrice de Glowery

Beauté
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Publié le 8 août 2023


L’interview-café est un rendez-vous mensuel de La Gazette du Bon Marché. Et par « rendez-vous », on veut dire qu’il est à la fois digital et physique — un moment partagé en magasin, que l’on vous raconte ici.


Ce mois-ci, Alexandra Kolasinski, la fondatrice de Glowery, nous accueille sur son espace, autour d’un insolite bar à collagène. Jusqu’au 27 août, son label de nutri-cosmétique démontre, lors d’un pop-up gourmand, tous les bienfaits de la protéine. On y retrouve les produits phares de la marque, mais également des sorbets et une (excellente) limonade. Le tout à base de collagène, bien sûr.


Direction le rez-de-chaussée jusqu'au 27 août pour rayonner et vous régaler !


Photos : © Louis Lepron pour Le Bon Marché Rive Gauche

Rencontre

La Gazette : Bonjour Alexandra. Comment allez-vous ?



Alexandra Kolasinski : Très excitée par l’ouverture du pop-up ! Une occasion en or de partager les valeurs de Glowery.

 

Un an seulement après son lancement, votre marque est présente au Bon Marché. Que cela représente-t-il à vos yeux ?

 

Un rêve devenu réalité. Quand j’étais petite, je dévorais Au bonheur des Dames, le livre d’Émile Zola. Il m’a donné le goût des grands magasins. Chaque année, ma mère m’amenait admirer les vitrines de Noël du Bon Marché. Intégrer cette enseigne, qui a nourri mon imaginaire, est un honneur.

 

— Alexandra ajoute qu’elle fut impressionnée de découvrir les coulisses de ce Grand Magasin dont on ressent partout l’histoire.

Pouvez-vous expliquer le concept de Glowery ?


Glowery est une marque de beauté comestible. Nous proposons des cures à base de collagène marin, à ingérer sous forme de poudre. Leurs propriétés ? Cicatriser, hydrater et assouplir la peau ; renforcer les cheveux et les ongles ainsi que solidifier le cartilage. Notre collagène est 100 % naturel, inodore et sans goût. Ce qui permet de le mélanger à tous les produits du quotidien. Une consommation facile et sans contraintes.

 

En août, vous animez un bar à collagène au cœur du Bon Marché. Qu’allons-nous y trouver et y faire ?


Glowery vous embarque en Italie, sur la Côte Amalfitaine. Dans un joli bungalow, nous avons installé un bar pour vous rafraîchir avec des saveurs très spéciales. Des glaces, des citrons givrés et des limonades concoctés au collagène. L’idée : vous faire déguster des compléments alimentaires de manière ludique et inattendue.

 

— Alexandra s’est amusée à construire le décor, avec des citronniers venus d’Italie. Son envie : créer une bulle de bien-être estivale au cœur du Bon Marché.

Nous avons installé un bar pour vous rafraîchir avec des saveurs très spéciales. Des glaces, des citrons givrés et des limonades concoctés au collagène. L’idée : vous faire déguster des compléments alimentaires de manière ludique et inattendue.

Alexandra Kolasinski

Ce pop-up est-il l’occasion de nous éclairer sur les bienfaits du collagène, une protéine assez méconnue ?



Absolument. Dans un espace dédié aux conseils, on explique que cette protéine est naturellement présente dans le corps et qu’elle est une sorte de bouclier contre les effets du temps ! Mais à partir de 25 ans, notre organisme en produit moins. D’où l’intérêt de suivre nos cures de trois mois pour enrichir cette super molécule.

 

C’est une expérience personnelle qui vous a convaincue de lancer Glowery. Pouvez-vous la raconter ?


À 27 ans, après avoir accouché, j’ai subi une grosse perte capillaire. Aucun traitement ne fonctionnait. Lors d’un voyage aux États-Unis, une personne m’a conseillé de prendre du collagène en poudre. Au bout de six mois, ma chevelure était nettement plus dense. J’ai alors décidé d’implanter le concept en France, avec l’aide d’un laboratoire. Il a fallu deux ans pour mettre au point une formulation ultra pure et efficace.

 

En quoi le collagène de Glowery est-il différent des autres ?


Nous avons imaginé un produit très concentré, facilement assimilable par l’organisme. Les premiers résultats sont visibles dès trois semaines.

Quand est-il bénéfique de commencer une cure ?



De manière préventive, dès 25 ans. Et pour traiter une problématique ponctuelle, comme l’acné, ou protéger un corps soumis à de grands efforts physiques.

 

— Avec fierté, Alexandra révèle que Glowery fournit en collagène les joueurs de tennis français de l’ATP Tour. À l’image de Jérémy Chardy qui, grâce à une cure, a pu résorber une perte de cartilage due à une blessure.

 

Quelles sont vos prochaines étapes pour continuer d’améliorer le bien-être de toutes et tous ?


En septembre, nous lançons une ligne de soins de la peau, à base de poudre de collagène, à retrouver au Bon Marché. Un pari assez vertigineux, mais les excellents résultats cliniques m’ont motivée à aller plus loin dans l’accompagnement de la communauté Glowery.